lundi 28 novembre 2011

Le viol de Caroline Sinz vu par Babar_becue

pour ceux qui y auraient échappé, Caroline Sinz est une journaliste de l'AFP agressée sexuellement place Tahir au Caire. Version Babar ça donne ça :



LIBERATION | Lundi 28 Novembre 2011 | 10h37
Le Caire
EXCLUSIF: près de 1200 doigts égyptiens déposent plainte pour viol
“C’est un défilé, ça n’arrête pas” raconte Mohamed, préposé au commissariat du 8e district du Caire. Toute la matinée ce même spectacle : des files entières d’hommes jeunes, les yeux vitreux, mal rasés, le regard hagard. Des hommes brisés. “Ca fait mal de voir ça” nous confie Mohamed avant d’ajouter: “ils ont connu l’enfer…”
Tout commence place Tahir, un jour de novembre, en pleine manifestation contre le pouvoir militaire. La jeunesse est là, dans la rue, festive et joyeuse. Des jeunes hommes qui n’ont plus rien à perdre dans une Egype aux mains des généraux, des affairstes. La révolution de Février n’a rien changé : toujours le même injustice et la même tyrannie.
Soudain, un cri s’élève. “Ahhhhh!” Des yeux se cherchent, des têtes de dressent, que se passe-t-il ? “J’ai vu un homme courir en se tenant la main droite, les yeux exorbités. Sa main était toute luisante. Il criait ‘elle m’a violé ! elle m’a violé !’ ” raconte Tarik, 22 ans, sans emploi. Très vite c’est la panique, et la rumeur fuse. Une journaliste occidentale serait en liberté quelque part dans la foule : elle aurait déjà violé deux hommes. “Elle s’est littérallement jetée sur moi!” explique Youssef, qui a pu se dégager à temps. “elle a essayé d’avaler ma main avec son…” il se signe comme pour se purifier, et reprend :”avec son sexe!”
D’après le rapport d’enquête de la police égyptienne, ce sont près de 150 hommes, pour la plupart jeunes et vulnérables, qui auraient été violés ce jour là, avec à chaque fois le même scénario : une chatte béante, carnivore, vorace, monstrueuse, se jette sur les mains et les doigts, les dévore, les mutile. “Elle avait la bave aux lèvres, des flots de bave!” raconte Tarik en tremblant. “on aurait dit un loup !”. Circonstance aggravante, la journaliste mise en cause travaillerait à l’AFP, un repaire de gauchistes notoire. “Vous imaginez le nombre de gens, dont des noirs, qui ont du ramoner cette chatte ???” demande Toufik en grimaçant, et il ajoute : “tous le monde sait que les journalistes gauchistes sont des nids à maladie !”
Tentant le tout pour le tout pour rassurer la population, le Premier Ministre a d’ors et déjà annoncé que l’état mettrait à le disposition des victimes des tests de dépistage gratuits pour le sida, l’hépatite A, la B, la C, la variole, la chaude-pisse, la syphilis, le botulisme, la gonorée, l’herpès et la fièvre hémoragique ébola. Une annonce qui, pour le moment, peine à calmer la population.
Une population qui, désormais, demande des comptes. “Comment expliquer qu’on ait pu accréditer un tel danger public pour couvrir les événements ?” demande Ahmad Ramadana, président d’une association de lutte contre la violence faite aux hommes arabes de moins de 25 ans. “Tout le monde sait que la journaliste française gauchiste de moins de 45 ans constitue un danger mortel pour tout jeune homme, surtout arabe ou africain. C’était de l’inconscience pure de la part de l’AFP!” ajoute-t-il. Mais le pire est peut être encore pour demain. “Que se passera-t-il le jour où ils nous enverront Pascale Clark ?” nous demande M. Ramadana, les yeux tremblants de panique. “Vous les laisseriez faire ça ?”
A l’heure ou nous mettons sous presse, la journaliste de l’AFP était toujours activement recherchée et aurait été aperçue dans le triangle Crillon-Ritz-Bristol à Paris.

samedi 29 octobre 2011

re: Tristane Banon, triste âme [Libération]



raz le cul de ces conneries

ok, DSK est une sous-merde, un gnome cosmopolite gonflé de sa propre toute-puissance, dédaigneux et méprisant. Comme si il avait fallu l'affaire du Sofitel pour le découvrir : couillons de journalistes, les rares phares de moralité qui surnagent encore dans votre profession putride le hurlaient depuis des années. Pathétiques manipulateurs. 

Mais la Banon, pire encore: il y a toute la médiocrité veule d'une époque qui sent la charogne chez cette conne. La maigreur aguicheuse de la pétasse contemporaine avec sa perpétuelle moue calculée, millimétrée, au service d'un carriérisme de bazar. Mais la nullité, aussi, celle de ses 'romans' nombrilistes et obscènes qui empilent les clichés les plus gerbants de la modernité faisandée : moi moi moi, petite bourgeoise née le cul dans le caviar, vois-tu petit peuple comme mes souffrances me rongent ? 

Et cette hypocrisie, démentielle, cyclopéenne. Elle rencontre DSK avec le carnet d'adresse de maman, pour pondre un bouquin à la con que personne ne lira mais qui sera son ticket d'entrée gratuit dans le 'monde', ce cloaque des médias et de la presse ou prospèrent des clones de Banon qui n'ont comme seul mérite que d'avoir le cuir plus épais. Le beurre et l'argent du beurre ma belle : tu fricotes avec les puissants, tu vas faire tes interviews sans culotte (comme tu le racontes dans tes romans), et quand tu touches le pactole, le serpent doré de la bite d'un ministre, tu paniques et tu exploses en vol. Pauvre connasse. 

Qu'ils crèvent tous : le monde sera meilleur quand la dernière écrivain-putain s'étouffera dans le sperme du dernier économiste.